A la mémoire de mon ami Christian
Richard, peintre et traducteur de Gregor Von Rezzori, Herzmanovsky-Orlando
et Soma Morgenstern, décédé à Essaouira le 12 janvier 2001, à la mémoire
également d'Isabelle Sallé,
(1961-1995) partie trop vite, à qui j'ai dédié
mon dernier livre Nos amours; à Patrick,
pour les Chroniques
Nomades et sa complicité dans le grand Nord...;
à Claire, pour nos
escapades insulaires à Formentera et Noirmoutier; à Véronique
et Philippe (alias Gaston Couté) de Rennes, pour
leur amitié, à Plume
leur fils qui a dû prendre un avocat parce qu'une secrétaire
de mairie n'aimait pas son prénom; à Judith
pour ses conseils; à Christine
de Londres, pour ses encouragements; à Josée,
pour les pancakes au 2222 rue Sherbrooke; à Sandrine de l'IMEC,
pour son travail sur le fonds Bove; à Gabrielle,
pour ses jolies cartes postales de Bretagne et d'ailleurs; à
Caroline de la rue Custine,
pour son enthousiasme; à Thierry
Théolier alias nobody et fondateur historique du
Syndicat
du Hype, pour sa gentillesse et ses conseils technos; à
Mayumi Matsumoto pour son
travail photographique; à Sophie
de la rue Bervic, pour beaucoup de choses; à Jean-Christophe,
pour son amitié malgré son silence; à
Fabienne, pour son sourire; à Joe
Strummer (1952-2002), pour n'avoir jamais baissé
les bras et pour sa
musique; à Klara
de Rio, en souvenir de la rue des Marguettes; au photographe Agustin-Victor
Casasola pour cette image
et à Fortino Samano
pour son courage devant le peloton d'exécution; à Jean-Pierre
Baril, pour son amitié et son immense travail sur
Calet; à Pierre
Molinier pour avoir été un
mauvais soi-même, plutôt qu'un bon un
autre; à Marie-Claude Cousse pour son soutien; à Agnès,
pour sa délicatesse; à Jean-Louis
Murat pour ses chansons et avoir accepté d'en écrire
une sur Bove; à Emmanuelle de Rennes, pour nos discussions dans
les jardins du Luco; au Subcomandante
Insurgente Marcos, pour la joie et l'espoir;à Lizzy
Mercier Descloux (1956-2004) pour sa musique et pour ce
qu'elle était; à Alain
pour ses "zinzins"; à Jacques
Rigaut, mon frère d'écriture, pour son unique
et magnifique livre; à Gilles Tordjman pour son article
dans les Inrockuptibles; à Géraldine,
pour m'avoir attendu en bas de l'avion;
à Jean-Yves Jouannais
grâce à qui j'ai rencontré Judith et Sophie, mais
aussi pour son livre Artistes sans oeuvres qui m'a ébloui;
à Arnaud Baumann,
pour le 45 ème Festival de Cannes; à Gaëlle
Obiégly, pour ses livres et son attention qui me
touche beaucoup; à Juliette
pour notre ride en Américaine dans les Laurentides; à
Alexandre Gouzou et Philippe
Aronson, pour "Les Episodes", la revue littéraire
la moins ennuyeuse de Paris, et pour y avoir publié La
mer de la tranquillité ; à Olivier
Szulzynger, directeur de la revue
Rue Saint-Ambroise,
pour y avoir publié les
autres chapitres de La mer de la tranquillité,
à Seymour Cassel,
pour notre discussion sur John Cassavetes; à
John Cassavetes pour tous ses films; à Love
Streams mon film préféré de John Cassavetes;
à Wim Wenders, pour
m'avoir fait découvrir Emmanuel Bove; à Christine
Van De Putte, pour ses bouquins Les filles c'est vraiment
des pauvres types, La colombe c'est la femme du pigeon et ses
gentilles casse-dédis, à Soraya,
pour ses "Caipirinha", à Michel
Houellebecq, pour ce qui reste son meilleur livre : L'extension
du domaine de la lutte; à Charles Denner, pour "l'homme
qui aimait les femmes", à Emma,
une fille formidable, pour la refonte de ce site et le reste..., à
Pierre
Carles, l'homme qui a dévoilé la fausse impertinence
de Karl Zéro et bien d'autres "grands professionnels"de
la médiacratie ; à Anne,
pour sa fantaisie enfantine; à Juliette
Joste des éditions Flammarion, pour sa douceur et
sa patience; à Bruno Sulak,
écrivain, mort le 29 mars 1985 lors de sa tentative d'évasion
de la prison de Fleury-Mérogis; à Thalie, pour Les copains
d'abord et un hiver en Avignon; à Peter
Handke, pour sa préface
à Emmanuel Bove, la vie comme une ombre; à Bernard
Morlino, pour sa confiance, sa fidèle amitié
et ses insomnies devant Emmanuel le marcheur...;à Emilie,
pour son espièglerie; à Albert
Cossery, pour ses petits déjeuners à midi
au Café de Flore; à Charles Juliet, pour son Journal;
à Elwood Reid,
écrivain
du Montana croisé à Saint-Malo, pour son
génial recueil de nouvelles Ce que savent les saumons;
à Eric Poindron
(le chauve à droite) pour son
Stevenson et son enthousiasme contaminant; à Henri
Calet, Georges
Hyvernaud, Louis-Ferdinand Céline, Paul
Gadenne, Hermann Hesse, W.G. Sebald, Raymond
Carver, Richard Ford, John Cheever, Malcom
Lowry, Robert Desnos, Guillermo
Rosales, Joe
Brainard, Constantin Cavafy, Arthur
Cravan, Jean
Genet, Louis Calaferte, Rimbaud, Joseph Hansen, Henri Pierre
Roché, Oscar Wilde ,
Maurice Pons, Samuel Beckett,
Eugène Dabit, Fernando Pessoa, Bruce
Chatwin, Pavese, Bruno Hébert, Pierre-François
Moreau, Pierre Bourdieu,
Guillaume Le Touze, Frédéric-Yves Jeannet, Charles-Albert
Cingria, pour leurs écrits; à Flo,
pour ce qu'elle sait, à Ainash,
pour sa dernière visite...; à une nouvelle amie, une femme
d'exception, Kim; à Chloé
Delaume; et enfin à
celle qui fut certainement la plus belle femme du monde dont la mort
à 29 ans empoisonnera toute ma vie et qui me manque... my
mother.